vendredi 11 avril 2008

Avant-dernier jour

Aujourd'hui, avant-dernier jour de la session, et je me demande si je devrai fermer ce blogue ou pas. Pourquoi fermerais-je ce blogue ? Probablement parce que sa raison d'être n'entrera jamais d'une quelconque façon dans ma vie. Il ne sera jamais mon chum, ni mon ami. Seulement un camarade de classe qui m'aura troublée pendant environ sept mois. Et comme je ne crois pas que mes "sentiments" survivront à nos trois mois de vacances...
Plus ça va, plus je me rends compte que je n'ai rien à me mettre sous la dent. Que tout pourrait avoir une explication à des lieues d'être romantique. Je pourrais être surprise... mais je ne sais plus si je devrais attendre après quelque chose, après tout ce temps.
Pendant la séance de ce matin, mon amie m'a dit qu'il fixait dans notre direction, un large sourire sur les lèvres. Mais elle ignore qui il regardait. Elle ? Moi ? L'une de nos collègues de classe ? Le mur ? L'esprit sain qui serait soudain apparu devant lui ? Son ami imaginaire ? Le lapin de Donnie Brasco ? Who knows ?! Ou était-il seulement dans la lune ? Ou sous l'effet d'une substance illicite ? Y'en a marre...
Qui plus est, il n'y a jamais personne pour venir renforcer - ou défaire - mes feelings. Ce qui me donne vraiment l'impression de divaguer. Je crois que c'est ça qui me frustre le plus, dans toute cette histoire : la sensation que j'hallucine, que j'invente, que je suis tellement désespérée sentimentalement que je trompe carrément sur ce que ressentent les autres... Damn... Suis-je en bonne voie de devenir érotomane ???
Et je ne peux même pas confirmer auprès de É. Une force m'en empêche. É n'est pas trop clair lui-même. Des fois, je me demande s'il ne désire pas secrètement se créer un harem.
Y'en a marre, y'en a marre, y'en a marre...
Conclusion : je n'ai pas de vie, et je meuble mon existence à m'inventant des histoires d'amour nowhere. Génial.

mercredi 9 avril 2008

J'aime/Je déteste

J'aime
  • lorsque, le soir, la ciel est noir et qu'on voit briller les étoiles
  • prendre l'autobus, un vendredi ou un samedi soir, et sentir la fièvre et le côté glamour du week-end me gagner
  • les garçons qui ont des rides d'expression, des fossettes, une voix sexy et/ou des yeux clairs
  • la conception romantique de l'amour : la lenteur, les regards lourds de sous-entendus, les déchirements, les pleurs dans l'oreiller, la timidité, la déroute, et les petits riens qui font qu'on perd de plus en plus la carte - tout ce que l'on a hâte de raconter à ses enfants et ses petits-enfants et qui nous donne l'impression d'être vivant
  • les jeux et les entourloupes du destin, même s'ils sont parfois chiants
  • m'asseoir sur un banc proche de la Rivière, et me dire combien c'est bon d'être en vie
  • les après-midi passés seule au cinéma, avec mon café et mon cup de crème
  • faire les boutiques avec ma mère, et discuter en sa compagnie de tout et de rien devant une assiette de shish taouk ou des sushis
  • errer dans le centre-ville avec ma meilleure amie, le soir, et m'extasier devant les gratte-ciel illuminés
  • lorsqu'il fait beau, m'étendre sur le divan du salon avec un livre et laisser la lumière du soleil me réchauffer
  • écouter le bon film au bon moment (la même chose pour la musique)
  • manger un sandwich au saumon extra mayonnaise dans l'autobus, voir les gens me regarder croche et m'en ficher éperdument
  • m'asseoir dans les couloirs de l'université, et me dire qu'au secondaire et au cégep, je n'aurais jamais pu le faire
  • etc.

Je déteste

  • les pédophiles, les violeurs, les personnes violentes verbalement et/ou physiquement, les alcoolos, les religieux radicaux, les personnes qui n'ont pas de façon la première fois que tu les rencontres (par exemple, ma boss)
  • le fait que le salaire minimum soit aussi ridiculement bas
  • qu'on dise que les valeurs humaines sont intimement associées à la religion (comme si on ne pouvait pas être respectueux, serviable, loyal en étant athée...)
  • qu'on prétende qu'une époque ou une génération est meilleure qu'une autre : chaque génération/époque est tout simplement différente de celle qui l'a précédée ou de celle qui la suivra
  • les gens qui n'assument pas leurs actes et qui mettent la faute sur tout le monde sauf sur eux (et qui disent que s'il y a tant de violence en ce bas-monde, c'est à cause des films à hémoglobine et des jeux vidéo... damn...)
  • les histoires d'amour qui manquent cruellement de romantisme : les one night stand et autres histoires de cul, l'urgence, la vulgarité, l'infidélité (Du genre "Nous nous sommes rencontrés dans un bar, alors que nous étions tous deux passablement imbibés d'alcool" ou "Au début, je le détestais, mais je me suis rendue compte qu'il avait des qualités, puis nous sommes devenus amis, et au bout de quelques temps, nous avons décidé de sortir ensemble...")
  • les champignons et la coriande (rien à faire)
  • ne pas pouvoir me souvenir en détails de certains événements, ou de certains visages sans faire appel à des photographies ou des vidéos
  • me rendre compte que je suis la seule à aimer, alors que je croyais que c'était réciproque
  • qu'on me prenne pour une jolie idiote ou une bollée so-so
  • parler au téléphone, et me demander avec quelle oreille j'entends le mieux (j'ai eu une perforation du tympan, ce qui fait en sorte que je n'entends pas pareillement des deux oreilles)
  • etc.

Pourquoi lui ?

Le cours s'est terminé à 15h30. Le transport de mon amie arrivait vers 16h30. Je lui ai proposé de passer le temps avec elle. Nous étions dans la cafétériat, lorsque R est passé près de nous et nous a saluées. Il s'est assis à la table juste à côté de la nôtre, et devinez qui est venu le rejoindre... Est-ce moi, ou il semblait apprécier la situation ? Ou il semblait être content que R ait choisi cette table aussi proche de la nôtre ? (J'ai remarqué qu'il prend rarement l'initiative de venir s'asseoir près de moi, mais lorsque ses amis choisissent une place non loin de la mienne, il semble... content. Bien entendu, cela exclu le 31 octobre et les deux 15 quinze minutes de silence, moments où il s'est approché de moi comme un grand garçon...)
Mon amie m'a demandé, en chuchotant, si je voulais changer de place. Je lui ai répondu que non, mais je lui ai demandé de me parler de sa vie, question ne pas tomber sur un sujet glissant. Et elle a parlé. À mon grand malheur, j'étais incapable de suivre ce qu'elle me disait. J'avais beau essayer de me concentrer, rien ne rentrait. Il était trop proche. Il était là. Juste à côté. Et sa présence suffisait pour me vider de ma matière grise. Je trouvais drôle de tenter de discuter des relations amoureuses de mon amie alors qu'il était aussi proche. Je regrette de ne pas avoir glissé, out of nowhere dans la conversation, que je n'aime pas les personnes qui ne me réécrivent pas.
Ils sont partis au bout d'environ une demi-heure. R nous a dit son habituel "Bye, les filles !". Lui, il a marmonné un "chow" qui semblait ne s'adresser à personne, ou peut-être parlait-il au plancher, qui sait ? Peu importe. Je suis la seule à l'avoir entendu.
Conclusion, pourquoi suis-je incapable de décrocher ? Parce qu'il me fait un effet monstre. Parce que j'aimerais tirer ça au clair. Parce que je trouverais cela dommage que tout ça n'ait abouti à rien. Même si j'ai des doutes. Même si je continue à me demander si je suis la seule à se troubler, la seule à se voir vider de sa matière grise à chaque fois qu'il s'approche d'un peu trop près de ma bulle... Même si j'ignore où cela mènerait.
Et il ne m'a toujours pas réécrit... (Comme dirait mon amie, il est poche.)

samedi 5 avril 2008

Comment espérer un jour me séduire

Bon. Je trouvais amusante l'idée de faire cette liste, compte tenu que j'ai l'impression d'être plutôt compliquée à saisir... >_> Et, bien entendu, s'il n'y a pas d'attirance physique au départ, c'est mal barré pour le gars. Ça pourrait changer, mais c'est encore plus long...

  1. M'hypnotiser. Si le gars est vraiment désespéré.
  2. Me tendre un piège, ou me coincer dans un détour, question que je ne puisse pas m'enfuir.
  3. Initier la conversation ou, du moins, me donner envie de lui parler. Pas se mettre à regarder ses gants. =_=
  4. Envoyer des signaux clairs. Sinon, je vais passer les prochaines semaines à me demander si tel regard qui m'a été lancé signifiait quelque chose. Au pire, me dire carrément ce qu'il désire.
  5. Être TRÈS patient. Je ne suis pas de celles qu'on peut amadouer facilement.
  6. Faire en sorte de gagner ma confiance et, ensuite, ne pas trop ébranler celle-ci. Il faut que je puisse me fier à la personne au moins à 85%.
  7. Avoir une hygiène irréprochable, sans être maniaque. Si un garçon dégage des odeurs corporelles douteuses, tant pis pour lui.
  8. Ne pas être mesquin envers moi ou les personnes que j'aime. Ça, ça me refroidit. Énormément. Assez pour que j'aie envie d'ignorer les gars pour les prochaines semaines.
  9. Ne pas collectionner les habitudes douteuses, tels les soirs de beuverie sur une base hebdomadaire, ou la consommation de substances illicites. (Bien entendu, les violents et les pédos sont automatiquement hors-concours.)
  10. Avoir des attentes réalistes côté professionnel. Je peux être rêveuse, mais je suis aussi assez terre-à-terre. Et il doit aimer le domaine professionnel choisi. Peu importe si le domaine est payant ou pas, tant qu'il mène à quelque chose.
  11. Comprendre - ou du moins, accepter - mon côté imaginatif, excentrique. Et un peu contemplatif. v_v
  12. M'effleurer, de temps en temps, mais seulement si les intentions du garçon sont louables. Si elles ne se limitent pas à vouloir me sauter dessus.
  13. Me donner l'impression de ne pas faire partie d'une liste de plusieurs candidates possibles. Ce qui m'envoie un message du genre : "Tu es jolie, mais ta voisine également". La compétition, ça ne m'allume pas. Au contraire, ça me souffrir. Je ne cherche pas à remporter un prix...
  14. Être fidèle, évidemment.
  15. Pouvoir être drôle, mais aussi sérieux quand il le faut.
  16. Avoir des intérêts, des passions qui vont plus loin que les soirs de beuverie et les sorties entre chums de gars.
  17. Avoir eu une enfance heureuse, et entretenir des liens chaleureux avec sa famille.

Mes activités (suite)

Voici maintenant la liste des activités que je n'aime pas faire... mais que je fais malheureusement un peu trop régulièrement.
  • Écrire des questions dignes d'un sondage... et ne recevoir aucune réponse =_=
  • Déguster joyeusement un plat, et tomber sur un champignon, ou de la coriande (berk !)
  • Être dans l'autobus, avec de la musique, me dire que je pourrais profiter de ce moment béni pour rêvasser... mais finalement me remémorer certains événements et me mettre à angoisser
  • Faire des fautes de frappe
  • Me retrouver à l'extérieur alors qu'il y a un orage
  • En pincer pour un gars pendant plusieurs semaines (voire plusieurs mois...), me faire des scénarios, et finalement me rendre compte que soit il ne me voit pas, soit il ne s'intéresse pas vraiment à moi, soit il n'en vaut pas la peine (en gros, me rendre compte que mes senseurs sont défectueux)
  • Lire la fin d'un roman policier, et être déçue par l'identité du tueur (comme s'ils avaient choisi le tueur en mettant plusieurs noms dans un chapeau, parce qu'il n'y a pas de logique véritable dans ses raisons de tuer)
  • Tomber sur un ancien béguin, et me rendre compte que je suis toujours aussi invisible à ses yeux
  • Insérer une personne dans une histoire, et voir la personne disparaître de ma vie quelques temps après
  • Voir des personnes que j'apprécie disparaître de ma vie pour de multiples raisons (décès, changement d'emploi ou d'orientation professionnelle, déménagement, éloignement)
  • Savoir qu'un gars a le béguin pour moi, et me sentir cheap parce que je ne partage pas ses sentiments et que je sais très exactement ce qu'il peut ressentir
  • Espérer plusieurs heures manger un mets particulier, mais finalement ne pas pouvoir le faire (il n'en reste plus, un empêchement, pas le temps, etc., etc.)
  • Avoir des bottes qui ne me permettent pas de marcher sur la neige
  • Tomber sur des gars qui m'attirent soit physiquement, soit intellectuellement, mais jamais les deux à la fois
  • Collectionner les regrets
  • Économiser mon argent pour une sortie x, et être déçue par ladite sortie
  • Me retrouver en présence du gars qui m'intéresse, et ne pas savoir quoi lui dire, parce que mon cerveau a été vidé de sa matière dès qu'il s'est approché de moi
  • Etc., etc.

Retour sur mercredi passé - ou l'instant paranoïaque


Voici maintenant arrivé le moment tant attendu de désespérer de moi pour de bon.

J'ai pris la ligne bleue, pas plus tard qu'hier, et je me suis rendue compte que les deux sorties de la station Jean-Talon semblent mener au même endroit, c'est-à-dire vers l'extérieur et les autres directions. Vous vous demandez sûrement pourquoi je me suis attardée à ce détail pourtant insignifiant. La réponse : parce que je suis paranoïaque. Tout simplement. J'ai eu l'impression qu'il me fuyait, mercredi passé, et je voulais confirmer mon intuition. Je me suis même amusée à faire un petit dessin de la situation... (voir le dessin ci-haut)

P.S. : Je tiens à préciser que je ne fais pas ce blog pour montrer à toute la planète à quel point je suis bizarre - et obsessionnelle sur les bords. Je veux seulement me souvenir. Comme on dit, les paroles s'envolent, mais les écrits restent.


jeudi 3 avril 2008

20 raisons pouvant expliquer pourquoi il ne me répond pas

1. Il déteste Facebook. (Mais il a changé sa photo dernièrement, et il ajoute des amis assez fréquemment, donc...)
2. Il est analphabète, et il cache particulièrement bien son jeu. (Euh... Comment a-t-il fait pour passer ses examens, d'abord ???)
3. Il est trop paresseux pour seulement pouvoir taper une réponse. Ou, pire encore, trop paresseux pour seulement vouloir faire dérouler la bande pour se rendre jusqu'à son wall. (Bordel...)
4. Il a compris qu'il s'agissait d'une perche, et il a choisi de ne pas la prendre. Du genre : "Tu ne m'intéresse tellement pas que je ne daignerai même pas répondre à ta question digne d'un sondage." (Ce qui serait vraiment mesquin de sa part.)
5. Il n'a pas compris qu'il s'agissait d'une perche (donc, qu'il y a urgence d'agir), et s'est dit qu'il y répondrait, mais a oublié de le faire... (Ce qui montre à quel point j'ai de l'importance à ses yeux...)
6. Il est pris, et seulement répondre à ma question l'impliquerait déjà trop, et constituerait une façon détournée d'être infidèle à sa blonde. (Ha ! ha ! Coincé avec une tigresse possessive !)
7. J'ai trop attendu avant de faire quelque chose. Mauvais timing. L'avoir fait quelques semaines avant la grève, le résultat aurait été tout autre. (On appelle ça être longue à la détente. Ou espérer vainement que c'est l'autre qui fera les premiers pas.)
8. Il voulait me répondre en personne, mais comme je suis dure à attrapper... Et répondre sur Internet ne l'intéresse pas. (Pourtant, c'est une solution tellement facile !)
9. Il ne sait pas comment me prendre, quoi faire de moi. Il est agacé par cette soudaine marque d'intérêt, alors qu'en vrai, j'ai tendance à le fuir. Et il se demande pourquoi je ne lui pas posé la question en personne, alors que j'aurais eu des tas d'occasions de le faire. Donc, pour me "punir", il ne me répond pas. (Honte à moi...)
10. Il pensait me répondre, mais il a décidé de demander l'avis de ses amis, qui le lui ont déconseillé pour une raison x. (Là, il serait vraiment influençable... Pourtant, il est le seul de sa bande a avoir voté contre la grève... Et c'est à la condition qu'il ait parlé un jour de moi à ses amis. Pour cela, il faudrait que j'aie une quelconque importance pour lui... *doute*)
11. Il est un gay dans le placard, qui défend sa supposée virilité en jouant au hockey. (Ça, c'est le genre d'explications que me sort mon père. Quoique, même s'il avait été gay, il aurait pu me répondre pareil...) Ou un extra-terrestre qui ne s'intéresse aux femelles de cette planète que dans le but de copuler, et non de discuter sur le web. (Non, lui, il n'a pas été enlevé lorsqu'il était enfant par des ET mâles. Il est un ET mâle. Nuance.)
12. Ma question l'a tellement laissé sous le choc (!) qu'il est dans l'incapacité de me répondre. Son cerveau est éteint, depuis. J'ai fait griller quelques fusibles. (C'est fou l'impact que peut avoir une question de sondage sur le cerveau des gens...)
13. Il aimait l'aspect silencieux de nos "échanges". Le fait que je lui pose une question, même sur Internet, est venu "péter sa balloune". Donc, il n'a pour moi qu'une attirance physique. Ce qui nous ramène inévitablement à la thèse du ET.
14. Il n'est pas sûr d'aimer le programme, et il se demande s'il ne devrait pas changer d'orientation l'année prochaine. Par conséquent, il se sent mal à l'aise de répondre à ma question. (La franchise, cher ami ! La franchise !)
15. Il ne sait pas encore où il désire aller, et, au lieu de me le dire, il préfère attendre de le savoir avant de me répondre. (Toujours et encore la franchise ! De toute façon, ai-je l'air moi-même de savoir où je m'en vais ?!)
16. Il est offensé que justement je lui aie posé une question digne d'un sondage au lieu de lui dévoiler mes tendres sentiments à son égard. (Qu'est-ce qu'il attend, alors, pour me dévoiler les siens ?? L'autobus ?!)
17. Il est constamment sous l'effet de l'alcool, ou de drogues, et donc dans l'impossibilité de me pondre une réponse potable. (Pitié ! Pas ça !!!)
18. Il a tant de fans en délire - dont je fais vraisemblablement partie, et qui sont tous de sexe féminin - que leur répondre lui prend des semaines, et mon message fait partie des derniers d'une liste épouvantablement longue.
19. Il aurait voulu me répondre, mais à chaque fois qu'il a tenté de débuter une réponse potable, quelque chose est venu le déranger. Un coup de téléphone. La visite impromptue d'un ami. Un parent qui quémande l'ordinateur. S'il a un portable, la batterie qui meurt. Peu importe. Il s'est dit : "Et s'il s'agissait de signes du destin ?". En conclusion, il a abandonné.
20. Il aurait voulu me répondre, mais alors qu'il revenait chez lui, une vieille femme s'est approchée de lui en disant : "Une fille tourne autour de vous. Oubliez-la. Elle vous fera tourner en bourrique." Obéissant, il a suivi le conseil de la femme. (Conclusion, pas de réponse, parce qu'il a fallu qu'un gars supersticieux tombe sur une bonne femme particulièrement lucide...)